Tommy x Gigi, autrement dit Tommy Hilfiger et Gigi Hadid. C’est probablement l’une des collaborations mode la plus demandée, achetée et appréciée du public fashion addict ces temps-ci. Cela fait 2 ans et 4 saisons que les idées fusent entre le mannequin 100% millenial et le créateur américain.
Le dimanche 25 février a eu lieu le défilé de la nouvelle collection printemps-été 2018 de ces deux amoureux de la mode à Milan. Un défilé très spécial puisqu’il clôture à la fois la fin de la fashion week milanaise, mais aussi celle de leur partenariat.
©Instagram/GigiHadid
Au menu ? On a pu y retrouver les éléments phares de chaque collection: du cuir, notamment pour les pantalons et les vestes, du bleu/blanc/rouge (empreinte de Hilfiger), tout ça revisité sous une nouvelle forme. Pour cette saison, le duo propose une collection qui mise sur des motifs de course automobile. Comme celui des drapeaux à carreaux noirs et blancs de la ligne d’arrivée, qui a fait office de rappel tout le long du défilé. On a pu le retrouver sur plus ou moins tous les types de pièces…
On remarque que les mannequins vedettes des podiums sont là, notamment la soeur cadette de Gigi, Bella Hadid, mais aussi Luna Bijl, Grace Elizabeth, et surtout Gigi Hadid elle-même. Ce mannequin nouvelle génération 2.0 a compris la recette du succès de sa collaboration avec T. Hilfiger: porter ce qu’elle crée sur le catwalk. Quoi de mieux pour donner envie aux jeunes femmes qui l’admirent d’acheter les pièces de chacune de ses collections ? Le tout saupoudré d’un coup de pub énorme via les réseaux sociaux, notamment Instagram, le nid de communication de la mode en pleine Fashion Week.
On retiendra de ce partenariat Tommy x Gigi un réel engouement autour de ses défilés pas vraiment conventionnels. C’est peut-être d’ailleurs ce qu’il y a de bien, la touche Gigi: à la fois californienne et cool. Une façon de décontracter la mode à l’américaine. On adore !
©Instagram/GigiHadid
La collection Printemps-Eté Tommy x Gigi est en ligne. Retrouve-la en cliquant ici
Ecrit par Pauline, la brune